Un épisode Hors-séries – LE MÉTIER D’UN ARCHITECTE (DPLG/HMONP)

Comprendre en détail les métiers de la décoration, de l’architecture intérieure et de l’architecture : une série en trois volets

Pour clarifier les différences entre les décorateurs d’intérieur, les architectes d’intérieur, et les architectes (HMONP et DPLG), je vous propose une trilogie passionnante sur le sujet.

Nous continuons la trilogie avec Christophe Sarlandie, architecte d’intérieur basé à Lyon et vice-président du Conseil Français des Architectes d’Intérieur (CFAI).

Pour le dernier volet je suis en compagnie de Stéphanie Bertina-Minel, architecte HMONP et présidente de l’association Architectes & Particuliers.

Dans cet épisode, nous plongeons dans la différence entre DPLG et HMONP et les spécificités du métier d’architecte. 

 Stéphanie partage ses connaissances approfondies sur les champs d’action vastes des architectes, les obligations légales à respecter ainsi que l’importance de se spécialiser pour exceller dans ce métier aussi exigeant que passionnant. Elle aborde également les raisons d’adhérer au collectif Architectes & Particuliers, et l’importance de jouer collectif dans cette profession.

 N’attendez plus pour écouter cet épisode captivant et enrichissant ! Un grand merci à Stéphanie Bertina-Minel.

Liens :

– Architectes &Particuliers : Site – Instagram – LinkedIn

– Stéphanie Bertina-Minel : Instagram – Podcast Décopreneurs

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Les chapitres :

00:00:00 – Introduction et Présentation de Stéphanie Bertina Minel
00:00:57 – Stéphanie Bertina Minel : son parcours et son agence
00:01:39 – DPLG vs HMONP : comprendre la différence
00:02:36 – Les multiples facettes du métier d’architecte
00:03:21 – Le processus créatif et les besoins des clients
00:04:29 – Les limites et responsabilités des architectes
00:05:23 – Spécialisation et diversité dans le métier d’architecte
00:06:30 – Formation et prérequis pour devenir architecte
00:08:18 – L’importance et le rôle de l’Ordre des Architectes
00:11:44 – Pourquoi choisir le métier d’architecte ?
00:12:46 – Architectes & Particuliers : une association engagée
00:14:31 – Conclusion et remerciements à Stéphanie Bertina Minel

Transcription (non-corrigé)

Floortje (00:00:00.82 –> 00:00:56.66) : Aujourd’hui, je suis avec Stéphanie Bertina Minel, un nom que vous avez déjà entendu parce qu’elle était avec moi épisode 58, si tu ne l’as pas écouté, vas-y tout de suite. Elle est architecte diplômée HMOMP chez Bertina Minel Architecture à Paris. Elle est également présidente de l’association Architectes & Particuliers. C’est la dernière intervenante sur le sujet des intitulés, les possibilités et les limites imposées sur les métiers d’architecte, d’architecte d’intérieur et décorateur. C’est un format hors-série dans lequel je demande aux intervenants de répondre aux questions fondamentales qui définissent, parlons correctement en français, ces métiers-là. Je suis ravie que tu aies là Stéphanie. Moi aussi, ravie d’être ici. Bienvenue. Est-ce que tu peux commencer par te présenter ?

Stéphanie Bertina Minel (00:00:57.20 –> 00:01:18.68) : Oui, je suis Stéphanie Bertina Minel, je suis architecte. J’ai créé il y a 15 ans l’agence Bertina Minel Architecture qui travaille spécialement sur la rénovation pour les particuliers. Et depuis 2020, je suis aussi présidente du collectif Architectes & Particuliers, qui est un collectif d’architectes spécialisés dans la commande pour les particuliers.

Floortje (00:01:19.00 –> 00:01:38.34) : Super, merci. On va commencer. Je vais commencer par une question qui me turlupine personnellement depuis un petit moment. Et puis ensuite, on va aller dans les questions vraiment sur les métiers. Est-ce que tu peux rapidement me définir la différence entre DPLG et HMONP ?

Stéphanie Bertina Minel (00:01:39.02 –> 00:02:13.30) : Oui, alors DPLG, l’acronyme veut dire diplômé par le gouvernement. HMONP, ça veut dire habilité à exercer la maîtrise d’œuvre en nom propre. En fait, tout simplement, le diplôme HMONP a remplacé… Il y a presque 20 ans, je dirais même 18 ans, je crois, le diplôme de DPLG. Donc, c’est en fait les mêmes compétences. C’est simplement qu’il y a une réforme au niveau du ministère de la Culture qui a fait que le diplôme est différent, enfin apporté un nom différent et on s’est aligné aussi sur une formation de 5 ans plus un nom d’HMONP.

Floortje (00:02:14.38 –> 00:02:35.62) : Super, écoute, merci parce que ça, vraiment, je ne le savais pas, d’autant plus que moi, j’ai pensé que HMONP… Déjà, j’ai toujours l’impression de juste dire l’alphabet. Oui, ça a existé depuis deux ans, donc je me coucherai plus intelligente ce soir. Alors, est-ce que tu peux me dire, selon toi, en quoi consiste spécifiquement le métier d’un architecte ?

Stéphanie Bertina Minel (00:02:36.21 –> 00:03:14.68) : Alors oui, le métier d’architecte, en fait, il y a déjà une multitude de manières d’exercer le métier puisqu’on peut travailler sur des commandes différentes et ce ne sera pas le même mode de fonctionnement. On peut travailler à la fois sur la commande publique, la commande privée, la commande du particulier. Il y a des architectes aussi qui sont chercheurs, il y a des architectes qui sont enseignants. Donc, c’est vraiment très, très large. Mais quel que soit, en fait, le mode d’exercice, je dirais que le métier d’architecte, c’est répondre à un besoin, aux besoins de nos clients et les traduire en solution. Donc, on n’est pas là pour faire… On fait de la 3D, bien sûr, mais notre métier, ce n’est pas de faire de la 3D. C’est vraiment une expertise qu’on vend et un service qu’on vend à nos clients.

Floortje (00:03:16.12 –> 00:03:21.70) : Ok. Est-ce que… Mais dans la création, j’ai bien envie de…

Stéphanie Bertina Minel (00:03:21.72 –> 00:03:48.94) : Oui, dans la création, mais pas que… Ce n’est pas qu’un métier créatif. On est vraiment à la base là pour… Vraiment, j’insiste un peu, mais pour répondre aux besoins de nos clients et pas pour créer une œuvre comme ça, abstraite. On travaille sur un terrain, en fait, qui est le besoin, qui est notre client. On est là vraiment pour répondre à son besoin et trouver des solutions. Donc, c’est créatif, oui, mais ce n’est pas la création qui prend la première part dans notre métier.

Floortje (00:03:49.18 –> 00:03:57.35) : Est-ce que je vais trop vite quand je dis… Des besoins des clients en matière de bâtiment, en matière de construction ?

Stéphanie Bertina Minel (00:03:57.35 –> 00:04:28.97) : Oui, en matière d’usage. On travaille beaucoup. Moi, je travaille à 100 % pour la rénovation et dans le collectif architecte & particulier, beaucoup travaillent aussi en rénovation, puisque en rénovation, on peut faire beaucoup de choses et améliorer les usages. Oui, le besoin du client, c’est en fait, c’est ce qui va nous exprimer comment nous, on va le traduire en solution dans son appartement, dans sa maison, dans son jardin, dans l’espace de la vie, quoi, qui peut aller jusqu’à la ville, qui peut aller de la petite échelle jusqu’à la grande échelle.

Floortje (00:04:29.17 –> 00:04:34.95) : Bien sûr. Est-ce que tu peux me dire quelles sont les limites du métier d’architecte ?

Stéphanie Bertina Minel (00:04:35.64 –> 00:05:22.68) : Oui, alors, on a un champ d’action vraiment très large. Alors, je ne dirais pas qu’on a zéro limite, mais en fait, on a la formation et la compétence pour accompagner notre client de A à Z, donc du gros œuvre, les fondations, tout ce qui est technique jusqu’à l’aménagement intérieur. Donc, on peut gérer aussi le papier peint, les couleurs. Ça va dépendre un petit peu de la mission qui est confiée à l’architecte et de ce qu’il veut aussi, de jusqu’où il veut accompagner. Donc ça, il faut se mettre d’accord avec son client pour bien définir sa mission. Mais l’architecte, en tout cas, a la compétence pour accompagner du gros œuvre jusqu’à l’interrupteur, plus précis même. Bien sûr. Et il peut aussi accompagner sur des sujets d’amélioration énergétique, sur des aspects très techniques, sur des économies d’énergie. Voilà. C’est un champ d’action vraiment assez large.

Floortje (00:05:23.04 –> 00:05:36.08) : Oui, c’est très, très large. Est-ce que, pour le coup, est-ce que tu as l’impression que chaque architecte, à un moment ou à un autre, va, comme des médecins finalement, choisir une spécialisation ?

Stéphanie Bertina Minel (00:05:36.96 –> 00:06:23.34) : Oui. Alors, moi, je trouve qu’il faut. Après, tous les architectes ne sont pas forcément peut-être d’accord sur le sujet. Mais en tout cas, en rejoignant architectes & particuliers, c’est justement pour ça. C’est pour valoriser notre commande du particulier. Qui n’est pas comme les autres. Qui n’est pas une commande… Quand on fait de la commande publique, on ne travaille pas pareil que quand on travaille pour le particulier. Et c’est vrai que l’année, justement, dont on parlait de HMONP, elle est censée être justement pour un petit peu boire le champ des possibles dans l’architecture et choisir sa spécialisation. Même si, au sein des écoles, ce n’est pas encore peut-être valorisé comme ça. Mais pour moi, ce serait important que ça le soit. Parce que quand on est spécialisé, on valorise un savoir-faire. C’est un savoir-faire spécifique dans une commande spécifique.

Floortje (00:06:24.66 –> 00:06:30.56) : -ce que tu peux me dire ce que sont les prérequis pour devenir architecte ?

Stéphanie Bertina Minel (00:06:30.56 –> 00:07:49.54) : Oui. Donc, il y a une formation déjà qui est un master. Donc, il y a cinq ans d’études dans une école d’architecture qui sont des écoles publiques. Il y a une école privée. Mais sinon, ce sont des écoles publiques qui sont gérées, comme je le disais, par le ministère de la Culture. À l’issue de ces cinq ans, on est architecte diplômé d’État. Donc, on n’est pas encore architecte. On est architecte diplômé d’État, ce qui est un peu spécifique. Et après, on a une année de formation qu’on appelle la formation HMO, qui n’est pas obligatoire. Chaque architecte peut choisir ou pas de la faire. Et une fois qu’on a validé cette HMO, on peut s’inscrire à l’Ordre des architectes. Donc, en fait, c’est une profession qui est assermentée. Ça veut dire qu’on prête serment pour pouvoir porter le titre d’architecte. Donc, le titre, ça peut paraître un peu pompeux. Parce que voilà. Oui, ça peut paraître pompeux de dire que pour porter le titre, il faut cette formation et s’inscrire à l’Ordre. Mais en fait, c’est très concret pour nos clients. Ça veut dire qu’on est obligatoirement assuré, puisque l’Ordre des architectes vérifie notre attestation d’assurance. On a aussi une obligation de formation où on doit justifier d’un certain nombre d’heures de formation par an. Ça veut dire que chaque année, on doit être à jour des réglementations, des nouvelles formations.

Stéphanie Bertina Minel (00:07:51.80 –> 00:08:16.32) : Donc, on inscrit le nombre d’heures qu’on a fait sur une plateforme gérée par l’Ordre des architectes. Et on a aussi un code de déontologie à respecter. Donc, ça veut dire qu’on prête serment sur ce code de déontologie. Donc, c’est la garantie aussi d’un professionnel indépendant pour nos clients. C’est les trois principales choses qui sont régies par l’Ordre et qui font qu’on peut porter le titre d’architecte.

Floortje (00:08:18.52 –> 00:09:22.06) : J’ai plein de choses. Il faut que je les… Alors, premièrement, non, je ne pense pas que c’est pompeux dans la mesure où porter le titre d’architecte te demande quand même des investissements en termes de temps, en termes de formation. Et en même temps, je refais encore un peu le lien avec les médecins. Il est clair qu’un architecte, en termes de responsabilité, si on parle des trois piliers des métiers que je mets en avant là dans le podcast, donc architecte, architecte intérieur, décorateur, l’architecte a quand même plus de responsabilité, plus de technicité dans son métier, puisque ce qu’il fait, si ça s’effondre, il y a des morts, quoi. Non, mais tu vois, je sais que je traduis, mais je ne pensais pas forcément super bien. Mais il y a quand même une très grosse responsabilité avec le titre architecte.

Stéphanie Bertina Minel (00:09:23.88 –> 00:09:52.48) : Oui, oui, c’est vrai qu’à partir du moment où on est architecte et donc inscrit à l’ordre, puisque pour être architecte, il faut être inscrit à l’ordre, donc en fait, on dit architecte inscrit à l’ordre, mais en fait, c’est presque un pléonasme, parce qu’architecte, ça veut dire inscrit à l’ordre. On a beaucoup de responsabilités. Oui, dès qu’on ouvre la bouche, on a des responsabilités, en fait. Mais même si on donne juste un conseil, tu peux ouvrir cette cloison chez un copain, on est responsable d’avoir dit ça, tout simplement. Après, oui, il y a des niveaux de gravité plus ou moins importants, suivant les conséquences.

Floortje (00:09:54.12 –> 00:09:58.14) : Et après, tu as dit, alors, donc tu fais cinq ans pour devenir architecte.

Stéphanie Bertina Minel (00:09:59.83 –> 00:10:00.47) : Diplômée d’État.

Floortje (00:10:00.83 –> 00:10:07.75) : Merci. Et puis ensuite, un an de plus pour faire HMO. Et si tu ne fais pas HMO, est-ce que tu peux t’inscrire à l’ordre?

Stéphanie Bertina Minel (00:10:08.35 –> 00:10:37.21) : Non, tu ne peux pas t’inscrire à l’ordre. Tu peux exercer sur des missions qui ne sont pas réglementées. Tu peux être salarié, tu peux faire autre chose. Il y a plein d’architectes qui font autre chose, qui deviennent photographes d’architecture, qui écrivent, qui sont journalistes. Dans des médias d’architecture, il y a plein de modes d’exercice. Une fois la formation de cinq ans faite, qui ouvre beaucoup de possibilités. Mais tu ne peux pas t’inscrire à l’ordre tant que tu n’as pas fait cet HMO.

Floortje (00:10:38.09 –> 00:10:48.17) : Ok. Alors, et tu parlais déjà d’assurance. Quelle assurance est-ce que vous avez? Une assurance qui est obligatoire, est-ce qu’il y en a deux? Comment on dit? Quelle assurance est vraiment obligatoire?

Stéphanie Bertina Minel (00:10:48.39 –> 00:11:12.99) : Nous, on est obligé d’être assuré en décennale. C’est une assurance qui couvre les dix ans. Pour tous les désordres qui touchent la solidité des ouvrages. Et donc, après, on a le libre choix de l’assurance qu’on choisit, de l’assureur accompagné de l’assurance qu’on choisit. Mais on doit transmettre chaque année notre attestation d’assurance à l’ordre des architectes qui valide notre mise à jour.

Floortje (00:11:13.67 –> 00:11:14.45) : C’est bien ça.

Stéphanie Bertina Minel (00:11:14.61 –> 00:11:42.77) : En fait, si on ne transmet pas notre attestation et aussi la formation et les deux éléments principaux, on peut être convoqué ou radié. Alors, je ne sais pas, je ne savais jamais. Enfin, bien évidemment, ça n’est pas arrivé. Je n’ai jamais dit. Puis ça se fait tellement naturellement. En fait, ça fait presque partie de… Voilà, on le fait naturellement. Il n’y a même pas à discuter sur le sujet. Un architecte inscrit à l’ordre est forcément assuré parce que sinon, il n’est pas architecte. Donc, il n’y a pas de question.

Floortje (00:11:44.15 –> 00:11:47.13) : Pourquoi est-ce qu’il faut choisir ce métier?

Stéphanie Bertina Minel (00:11:48.57 –> 00:12:33.39) : Bonne question. Alors, je dirais déjà, je dirais que c’est un métier extrêmement existant. Enfin, extrêmement difficile et qui nécessite beaucoup d’engagement, qui engendre aussi beaucoup de responsabilités, comme vous le disiez. Donc, ce n’est pas un métier facile qu’il faut choisir pour se détendre sur la plage. Enfin, voilà. En tout cas, c’est un métier exigeant. Après, c’est vrai que c’est un métier aussi très passionnant parce que quand on a la chance de travailler pour les particuliers, c’est bien plus, en fait, que juste de la création d’espace qu’on fait. On apporte vraiment un impact positif. C’est vraiment, on contribue à leur bien-être finalement en repensant les espaces pour nos clients. Donc, c’est vraiment passionnant. C’est bien plus que de l’architecture, en fait.

Floortje (00:12:33.85 –> 00:12:45.91) : Bien sûr, c’est génial. Est-ce qu’en dernier lieu, tu peux m’expliquer un peu ce que c’est architecte & particulier et pourquoi il faut y adhérer si on est architecte?

Stéphanie Bertina Minel (00:12:46.57 –> 00:13:11.83) : Oui, donc c’est une association, donc un collectif d’architectes qui a été créé en 2016. On travaille sur trois axes. Donc, un axe envers les particuliers pour sensibiliser sur le métier d’architecte, un axe entre architectes pour progresser et créer des outils de bonne pratique et puis un axe au sein de la profession où on porte la parole des architectes qui travaillent pour le particulier auprès des instances de la profession.

Stéphanie Bertina Minel (00:13:13.99 –> 00:14:30.17) : Pourquoi adhérer? C’est vrai que moi, ça me paraît tellement évident, en fait, ça me paraît évident qu’en tout cas, pour progresser dans ce métier, il faut jouer collectif. On ne peut plus rester chacun dans notre coin. Je pense que beaucoup d’architectes le comprennent parce qu’on est de plus en plus nombreux au sein du collectif. Et je pense que les gens, enfin, j’espère en tout cas que les gens ont pris conscience, les architectes, que la concurrence, finalement, c’était positif et que ce n’était pas quelque chose de négatif, qu’en étant ensemble, on se tire vers le haut et on devient finalement meilleur. Après, c’est vrai que concrètement, on a beaucoup d’actions très, très concrètes, donc on a créé un séminaire pour les architectes. Tous les deux ans, on réfléchit sur des questions assez précises qui sont, par exemple, on en a fait un sur la gestion du temps, la rémunération, l’autre sur la relation client. Enfin, on a vraiment des axes très précis. On fait aussi un festival tous les deux ans pour les particuliers, Festival de l’architecture, des expositions. Donc voilà, c’est une association vraiment extrêmement dynamique. Donc je suis très fière de tout ce qu’on a. On a pu faire et mettre en commun. Finalement, avec nos individualités, on arrive à créer des actions communes et c’est un super enthousiasme.

Floortje (00:14:31.05 –> 00:14:59.89) : C’est super. Un grand merci, Stéphanie, d’avoir été avec moi pour la deuxième fois, d’avoir expliqué beaucoup plus concrètement ce que ça veut dire d’être architecte, qu’est-ce qu’il faut faire pour pouvoir l’être et les assurances à avoir pour le faire et puis surtout aussi pourquoi choisir. C’est un métier qui a l’air absolument passionnant. Merci beaucoup. Merci à toi. Avec plaisir. À très bientôt. À bientôt.

Floortje (00:15:02.24 –> 00:15:02.64) : Super.