Découvrez un nouvel épisode bourré d’infos et d’astuces avec Quentin Saboureau, alias Q-SEO, expert en SEO reconnu sur Instagram et bien d’autres plateformes !
Quentin nous transmet sa passion pour le SEO, un domaine qu’il maîtrise sur le bout des doigts grâce à plus de 8 années d’expérience en conseil et en agence.
Dans cet épisode, on plonge ensemble dans l’univers fascinant du SEO, cette discipline incontournable pour rendre ton site web et tes réseaux sociaux visibles sur Google et bien d’autres moteurs de recherche. Quentin partage avec enthousiasme :
– Les bases indispensables pour lancer ta stratégie SEO.
– Des astuces pratiques, comme l’utilisation des mots-clés longue traîne.
– Des conseils sur l’intégration efficace des réseaux sociaux.
– Et l’importance cruciale de l’analytique pour suivre et optimiser tes performances.
Sans oublier ses idées lumineuses pour adapter ton contenu à ton client cible et maximiser ta visibilité en ligne.
Un grand merci à Quentin pour sa générosité et ses précieux conseils ! Ne manque pas cet épisode enrichissant et booste dès maintenant ta présence sur le web.
Les sites évoqués : Answer the Public, Keyword Planner Google, Haloscan, 12pages.
Pour suivre Quentin :
Instagram, newsletter, TikTok, Youtube, Facebook, LinkedIn
#Podcast #SEO #MarketingDigital #Inspiration #GrowthHacking
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Les chapitres :
00:00:00 – Introduction avec Quentin Saboro et point sur le SEO
00:00:43 – Présentation de Quentin et son parcours dans le SEO
00:02:26 – Les défis du SEO pour les débutants
00:03:31 – Premiers pas essentiels pour optimiser son site internet
00:05:31 – L’importance du contenu frais et bien structuré
00:07:10 – Comment organiser ses pages web pour le SEO
00:08:13 – Utilisation d’outils pour améliorer le référencement
00:10:58 – Stratégies pour les marchés concurrentiels
00:14:44 – Maintenir un site à jour et pertinent pour Google
00:17:38 – L’impact des réseaux sociaux sur le SEO
00:22:33 – Le rôle des backlinks et alternatives à l’achat
00:23:25 – Temps à consacrer au SEO et réseaux sociaux
00:26:37 – Erreurs courantes et vigilance sur les métriques
00:29:34 – Utilisation intelligente des outils d’analyse
00:33:14 – Stratégies pour la création de contenu sur réseaux sociaux
00:37:15 – Optimisation du contenu avec ChatGPT
00:40:03 – Trois actions clés à mettre en place pour le SEO
00:45:18 – Conclusion et perspectives pour l’année à venir
La transcription (par autoscript)
Floortje (00:00:00.69 –> 00:00:42.65) : Alors aujourd’hui je suis avec Quentin Saboureau ou moi je le connais un tout petit peu sous le nom Q-S-E-O. Moi je l’ai trouvé, je vais être totalement transparent et honnête depuis un petit moment sur Instagram parce que c’est là où il publie pour moi du contenu que je suis. Je dois quand même tout de suite avouer que je le suis mais que je ne l’applique pas. J’essaye mais bon on va dire que le SEO ce n’est pas mon kiff du tout. Chacun son métier on va dire. Donc je suis ravie qu’il est là parce que comme ça je peux poser toutes mes questions. On va parler purement SEO même s’il est spécialiste dans plusieurs choses. Mais pour commencer je vais lui demander forcément de se présenter un petit peu. Salut Quentin.
Quentin (00:00:43.15 –> 00:02:25.89) : Salut, merci beaucoup pour l’invitation. Avec grand plaisir. Ça me fait plaisir et bravo aussi pour le podcast. Merci. Il y avait de très très bonnes notes sur Spotify etc. C’est très cool et c’est marrant parce que ça fait partie du SEO aussi. Du coup pour me présenter, ça va faire aujourd’hui. C’est entre sept ans et huit ans à peu près que je fais du SEO, que j’ai commencé du moins au tout début c’était vraiment de la rédaction d’articles et au fur et à mesure c’est allé beaucoup plus loin et aujourd’hui j’accompagne beaucoup de clients, j’ai mon côté agence, mon côté consulting, etc. Et c’est vraiment ce qui m’anime en fait le fait de réussir à partager toutes les connaissances que j’ai acquises, que j’ai testées parce que le SEO c’est énormément de tests et d’apprentissage au fur et à mesure tout évolue, les algorithmes évoluent, les moteurs de recherche évoluent et c’est vraiment cette curiosité là qui me guide depuis un moment et depuis deux ans et demi, trois ans justement l’autre côté beaucoup plus partage de mes connaissances et donc à travers les réseaux sociaux tu les as mentionnés notamment Instagram, TikTok et d’autres réseaux, le fait de partager tout ce que j’ai pu tester, ce qui marche, ce qui ne marche pas pour qu’en fait cette connaissance SEO et le fait, aujourd’hui il y a beaucoup de personnes qui ont des sites internet mais qui ne savent pas vraiment comment avoir de l’apprentissage. Comment faire venir des gens dessus alors que potentiellement c’est des sites passion, c’est des sites sur lesquels ils mettent toute leur âme et c’est vraiment dans cette optique là que je donne tous mes conseils aujourd’hui sur les réseaux 100% gratuitement et l’objectif c’est que ce soit applicable aussi le plus simplement possible, après forcément il y a de la technique, on peut aller plus loin mais en tout cas aider ceux qui ont des sites et qui veulent aller plus loin avec leurs sites.
Floortje (00:02:26.17 –> 00:03:30.74) : Parce que c’est quand même super facile de se perdre. C’est un gouffre de dingue de temps déjà de vouloir plus ou moins un peu comprendre et puis moi j’ai toujours, tu vas peut-être me contredire, cette impression quand je commence à penser à SEO, déjà en fait ça me gâche ma journée parce que je ne partage pas ta passion, j’ai toute une autre passion et c’est tant mieux, mais déjà je fais oh mon dieu et puis ensuite je fais un truc et puis je fais un autre truc et puis je fais un truc à côté et puis j’oublie pendant deux ans. Et puis bref, tu vois bien, je pense que je suis partie des gens qui devraient faire appel à des gens comme toi. Qu’est-ce que, si je prends un peu un truc au départ, parce que je vais vouloir te poser 150 questions mais on va se structurer un petit peu. Qu’est-ce que, si aujourd’hui je monte mon site internet, parce que je sais que le SEO fait intégralement partie d’un site internet dès le départ. Qu’est-ce que je mets en place en premier ?
Quentin (00:03:30.74 –> 00:05:30.84) : Ouais, carrément. En fait le SEO c’est vraiment le fait de venir optimiser son site internet pour être visible sur les moteurs de recherche. C’est la définition même du SEO, donc faire en sorte que ton site internet il soit visible sur Google, partout où les gens peuvent faire des recherches. C’est vraiment ça qui est important. Et en fait la première étape, et je pense que c’est vraiment un sujet que toutes les personnes qui ont une passion comme toi, comme moi, au final c’est pas si difficile. Parce que le SEO ça va être le fait de donner du bon contenu, d’expliquer aux personnes par rapport aux recherches qu’elles vont avoir. Donc typiquement, quand je commence avec un nouveau client qui a un nouveau site, ou même moi si je veux travailler sur un nouveau site, ce que je vais faire en fait à la base c’est toujours un brainstorming tout simple, où je vais mettre mon mot-clé, mon activité, donc par exemple décorateur d’intérieur, et en fait qu’est-ce qui gravite autour. Et au fur et à mesure on va venir faire des petites branches, des petits groupes. Ouais. Avec tous les sujets qui gravitent, et en fait ça va te donner toutes tes idées de contenu. Et ça va te donner des idées de contenu à la fois pour tes réseaux sociaux, mais à la fois pour ton site web. Et en fait chaque idée de contenu correspond à une page web. C’est exactement ça, et c’est vraiment comme ça qu’il faut appréhender le SEO. Et en fait là où c’est intéressant d’avoir du SEO en plus des réseaux sociaux etc, c’est encore une fois parce que les personnes vont faire ces recherches sur Google. Et une personne en fait comme toi, comme moi, qu’on connaît. On va aller chercher sur Google avec des mots-clés spécifiques, et c’est ça la clé du SEO, et c’est ça la clé de l’acquisition de trafic, de comment tu récupères les gens. Les personnes vont se poser des questions par rapport à ta thématique, donc par rapport à la déco d’intérieur, et toutes les questions que tes potentiels clients se posent, en fait toi il faut que tu sois en mesure de leur apporter une réponse. Ouais. Et du coup cette réponse-là, la plupart du temps, ça correspond à une page web. On va te demander quels sont les prix de décoration d’intérieur. En fait il faut que tu aies une page web dessus.
Quentin (00:05:33.22 –> 00:06:11.98) : Comment devenir décorateur d’intérieur ? Il faut que tu aies une page web dessus. Et c’est exactement ça, et en fait c’est long parce que c’est de la création de contenu, et que c’est du contenu texte, et du coup il faut le rédiger, et c’est forcément long. Et d’autant plus parce qu’il y a dans la plupart des passions, dans la plupart des niches, il y a beaucoup de sujets à traiter, et c’est ce qui fait que tu multiplies énormément le contenu à créer. Mais en premier temps, ce que je dis à tous mes clients, c’est faire ce brainstorm. Identifier quelle branche est la plus intéressante, la plus impactante d’un point de vue business dans un premier temps, et commencer par là. Et en fait après, au fur et à mesure, on viendra étendre l’ensemble, mais toujours commencer comme ça.
Floortje (00:06:12.28 –> 00:06:15.64) : Et les pages que tu crées, c’est une espèce de blog pour le coup ?
Quentin (00:06:15.64 –> 00:07:09.68) : Alors, en fait c’est des noms un peu barbares utilisés par tout le monde. Et c’est marrant d’avoir cette question parce qu’en fait que ce soit un blog ou un site web, il n’y a pas vraiment de différence parce que dans tous les cas, ce sera toujours une page web. Et c’est ça qui… Oui. Et il y a beaucoup de personnes qui se disent « ah oui, je dois avoir un blog » ou pas. En fait, moi ce que j’entends par blog, c’est avoir du contenu un peu plus éditorial où tu vas venir parler de toi, tu vas venir donner des chiffres, ce genre de choses. Et ça sera moins vraiment une réponse à une question. Mais ce sera plus les tendances de décoration d’intérieur, etc. Ce sera plus de l’éditorial par rapport à ton branding, à ce que tu veux mettre en avant, comment tu veux le mettre en avant. Donc, dans ce contexte-là, la partie blog est intéressante. Mais techniquement, pour moi, tout ça… Tout est un site web et il y a juste plein de pages web qui répondent chacune à un sujet, à une question que se posent les utilisateurs. Et c’est comme ça que je vois les sites web en tout cas.
Floortje (00:07:10.38 –> 00:07:13.16) : Et ces pages web, est-ce qu’on doit les mettre dans le menu ou pas ?
Quentin (00:07:14.27 –> 00:08:06.53) : Alors, c’est une très très bonne question. En fait, les pages web qu’on va venir mettre dans le menu, il faut que ce soit les pages web qui soient les plus intéressantes d’un point de vue business. Parce qu’en fait, la home page, donc la page centrale de ton site web, c’est la page qui va avoir aux yeux de Google et des moteurs de recherche le plus de puissance SEO, si je peux employer ce terme. Ouais. Et en fait, les pages qui seront accessibles depuis cette home page, donc la plus puissante, ce seront les deuxièmes, troisième, quatrième pages les plus puissantes. Donc, il faut vraiment avoir une réflexion business et mettre en avant que les pages qui sont vraiment intéressantes typiquement. Si demain, tu fais la formation et que tu veux vendre ta formation, il faut que la formation soit dans le menu. Si… Et par exemple, les mentions légales qui n’ont pas de vocation à te rapporter du trafic ni du business ne doivent pas y être. Tu vois, c’est vraiment ça la réflexion sur ce sujet-là.
Floortje (00:08:07.23 –> 00:08:12.91) : Ok. Et donc, on commence par trouver les premiers un ou deux keywords, pardon, mots clés.
Quentin (00:08:13.05 –> 00:08:20.55) : Puis ensuite, est-ce qu’on utilise ce fameux site « insert the public » Ah, très… C’est marrant de connaître ce site.
Floortje (00:08:21.03 –> 00:08:27.73) : Attends, moi, je m’intéresse au SEO depuis à peu près huit ans, sauf que je ne l’utilise pas. Donc, du coup… Mais du coup, on est plein de choses.
Quentin (00:08:28.57 –> 00:10:57.18) : Carrément. Ah, c’est marrant de citer celui-ci. Il y en a pas mal aujourd’hui. D’ailleurs, je pourrais te les envoyer pour les partager à la communauté aussi. Avec plaisir. Il y a pas mal de sites qui sont gratuits et qui permettent… Parce que dans le sens de public de tête, il doit y avoir trois mots clés gratuits par jour, ce qui n’est pas beaucoup. Mais oui, c’est intéressant. En fait, ça va venir t’aider sur la partie brainstorming au début parce que tu vas mettre ton mot clé. Donc, encore une fois, décorateur d’intérieur, décoratrice d’intérieur. Ce mot clé-là. Et en fait, il va te sortir toutes les questions qui sont posées autour de ce mot clé. Tous les mots clés associés, etc. Donc, ça va te permettre d’avoir des idées en plus pour ton brainstorming et te dire, ah ok, cette question-là, elle est très souvent posée. Mes clients me la posent souvent. Donc, il faudrait peut-être que je la priorise dans la création de contenu. C’est dans ce sens-là. Mais typiquement, demain, il n’y a pas vraiment de besoin d’utiliser des outils pour le SEO. Le meilleur outil, ça reste Google parce qu’en fait, il faut réussir à se mettre à la place de ton utilisateur et comprendre ce que ton client final attend. Donc, typiquement, si tu sais quelles questions il te pose tout le temps et qu’il revienne tout le temps, en fait, c’est ces questions-là qu’il va poser aussi à Google. Donc, toi, il faut que tu aies ton contenu qui lui réponde. Et de la même façon, quand tu tapes décorateur ou décoratrice d’intérieur dans Google, la plupart du temps, il va faire de l’autocompletion. Il va venir ajouter d’autres mots. En fait, ça, c’est des mots-clés que le moteur te donne et qui, en fait, pour lui, sont souvent tapés. Donc, il te les propose en premier. Ce qui fait qu’en fait, tu as déjà d’autres idées de mots-clés et de sujets à traiter par rapport à ce que lui, le moteur, connaît en base de données. Oui, bien sûr. Tu peux le faire comme ça. Il y a un autre outil de Google qui, lui aussi, est gratuit, qui passe par Google Ads. Mais en fait, c’est passé par Google Ads, mais sans faire de la publicité en ligne. Il y a un outil qui s’appelle… Qui est Word Planner et en fait, qui est gratuit et qui permet d’aller mettre une liste de mots-clés, d’avoir une idée du volume de recherche. Donc, combien de fois ces mots-clés sont recherchés chaque mois. Et donc, en fait, de prioriser, de savoir, encore une fois, combien de personnes en France se posent cette question-là tous les mois. Est-ce que c’est 10 personnes ? Est-ce que c’est 4 000 personnes ? Si c’est 4 000 personnes, j’ai peut-être intérêt à prioriser ce contenu. C’est vraiment ça. Mais techniquement, il n’y a pas vraiment de besoin d’outil. Demain, je pourrai m’en sortir. Oui. Je pourrai m’en sortir en SEO sans utiliser aucun outil.
Floortje (00:10:58.02 –> 00:11:49.40) : Ok. Et donc, tout ça, ça ouvre forcément plein d’autres questions. J’imagine. Évidemment. Parce que, par exemple, le mot… Là, on est quand même architecte d’intérieur, décorateur d’intérieur sur des mots-clés extrêmement concurrentiels. Moi, je n’ai essayé même plus de m’en sortir avec ces mots-là. En tout cas, j’ai baissé les bras là-dessus. Qu’est-ce qu’on fait si c’est comme ça ? Quand on est vraiment dans un marché extrêmement concurrentiel sur des mots-clés à ce type, est-ce qu’on va aussi sur Google pour trouver le mot-clé suivant ? En fait, ma question, c’est que c’est quoi la limite dans le nombre de recherches pour dire ça, c’est trop et donc, du coup, il faut que je trouve autre chose ? Est-ce que je m’exprime bien là ou pas ?
Quentin (00:11:49.40 –> 00:12:28.52) : Oui, carrément. C’est très clair. C’est très clair. Ok. En fait, au-delà de ça, et c’est là que les outils deviennent intéressants, il va y avoir d’autres métriques qui permettent d’appréhender plus ou moins. Typiquement, on va parler de Keyword Difficulty. Est-ce que c’est difficile ou facile de se positionner sur ce type de mots-clés ? Et il va y avoir des mots-clés sur lesquels il y a 4000 personnes qui le recherchent par mois. Et en fait, c’est une niche inconnue, donc on peut facilement se positionner. Ou à l’inverse, typiquement un mot-clé comme SNCF, qui est très très recherché, mais très très concurrentiel. En fait, c’est impossible d’aller se positionner devant SNCF sur le mot-clé SNCF.
Floortje (00:12:28.88 –> 00:12:30.32) : Même sur SEO, non ?
Quentin (00:12:31.38 –> 00:14:44.60) : Sur SEO, c’est un peu moins le cas. C’est moins concurrentiel, mais ça reste très concurrentiel pour le coup. Mais oui, je prends le mot-clé SNCF parce que j’avais travaillé dessus. C’est impossible de passer premier. Parce que le branding de la marque est beaucoup trop puissant. Mais non, c’est intéressant comme question. C’est une question sur les mots-clés, donc vraiment avoir cette métrique de keyword difficulty. Le savoir. Et après, il ne faut pas être biaisé non plus par le fait du volume de recherche. Potentiellement, en fonction des niches, en fonction des secteurs, 4000 recherches, c’est peut-être beaucoup ou c’est peut-être très peu. Et typiquement, dans ton cas, donc si ça devient difficile en SEO de se positionner sur les mots-clés très génériques, type décoratrice d’intérieur, en fait, on va aller chercher des mots-clés, ce qu’on appelle long train. Donc décoratrice d’intérieur. Donc décoratrice d’intérieur. Ou quelles sont les études pour devenir décoratrice d’intérieur. Tu vois, c’est un mot-clé long train parce qu’il y a beaucoup de mots. C’est plus de 4 mots qui le composent. Et en fait, ça, il y a forcément moins de personnes qui le recherchent par mois parce que c’est beaucoup plus spécifique. Et le fait que ce soit beaucoup plus spécifique, il est aussi beaucoup plus facile si toi, ton contenu, il traite vraiment de ce sujet-là et que tu réponds vraiment à comment devenir décoratrice d’intérieur. Et que ta page répond à ça, tu vas forcément te positionner nettement mieux et récupérer plus de trafic. Et du coup, il ne faut pas être biaisé par le volume de recherche. C’est ce que je disais au début parce qu’en fait, les outils n’ont pas la science infuse. Et certains mots-clés sur lesquels les outils, même les outils de Google, vont vous dire qu’il y a zéro recherche par mois. Si ça se trouve, c’est sur le mois de juin qu’il y a zéro recherche. Et en fait, sur le mois de juillet, le suivant, il y aura peut-être 20 recherches. Et en fait, tu n’auras pas travaillé. Mais ton concurrent, lui, récupérera du trafic ou inversement. Donc, il faut… En fait… C’est pour ça que je ne me base pas uniquement et spécifiquement que sur les outils. C’est beaucoup de réflexion et de connaissance de son client, de son personne à cible. Si un client te pose une question et que cette question revient régulièrement, mais que les outils te disent « Oh, mais personne ne recherche ça », c’est quand même que cette question doit revenir. Donc, à ta place, je créerai un contenu dessus. C’est du bon sens, en fait. C’est du bon sens et de la logique pour le coup.
Floortje (00:14:44.66 –> 00:15:04.04) : Bien sûr. Donc ça, c’est le départ de notre site Internet. On trouve les mots-clés à mettre dessus. Exactement. Exactement. Exactement. Exactement. On va créer tous les pages. Il me semble qu’on va aussi les alimenter assez régulièrement parce que si on n’alimente pas notre site Internet un minimum de choses, apparemment, Google nous met dans… Comment on dit ça ? Nous met au point ?
Quentin (00:15:04.04 –> 00:15:57.32) : C’est un petit peu ça. En fait, Google, son objectif, c’est d’offrir les meilleurs résultats à toutes les recherches des utilisateurs. Et en fait, si on part de cette base logique, un contenu qui date de 2012 sur la décoration de l’intérieur paraît techniquement nettement moins pertinent qu’un contenu qui a été créé avant-hier. Et en fait, il aura tendance à déclasser le contenu qui date de 2012 et à nettement mieux classer le contenu qui est récent. C’est pour ça qu’en fait, venir mettre à jour ces contenus, mettre à jour les dates, mettre à jour les prix, mettre à jour avec potentiellement une nouvelle loi, une nouvelle tendance, des nouvelles informations, c’est super important parce que Google aime la fraîcheur de contenu. Et aime donner, encore une fois, la meilleure réponse à ses utilisateurs pour les recherches qu’ils vont avoir. Donc forcément, il faut avoir des réponses qui sont d’actualité, tout simplement.
Floortje (00:15:57.76 –> 00:16:18.58) : J’ai une question hyper intéressée. Pour le coup, quand j’ai le message, je me pose quand même la question. Parce que moi, j’avais fait un blog et puis il y a des posts du blog qui marchent mieux que les autres. Si je vais sur ce blog post qui marche plutôt bien et je change juste la date à hier, est-ce que Google va penser que c’est nouveau ?
Quentin (00:16:19.56 –> 00:17:37.78) : En fait, quand il va revenir sur la page, il va la réanalyser en entier. Donc si tu as changé juste la date, il va se dire que tu as changé juste la date. Par contre, ce que je recommande à mes clients pour vraiment montrer à Google que tu as mis à jour, mais sans perdre trop de temps sur la mise à jour parce que forcément, encore une fois, c’est de la création de contenu. Ça peut prendre du temps. Ajouter une image potentiellement. Ajouter 2-3 paragraphes et modifier les dates, modifier 2-3 prix. Ça fait l’affaire. Ça marche exactement. Il n’y a pas besoin de modifier tout le contenu. On peut modifier quelques bribes et vraiment montrer qu’on a mis à jour avec les informations capitales de l’article. Et ajouter du contenu multimédia, c’est une très bonne façon d’avenir amélioré, de donner plus de valeur à la page. Et donc ça, Google, il le prend en compte. Et typiquement, ça peut être de la vidéo, ajouter une vidéo YouTube, ajouter une image, ajouter un petit extrait de podcast, par exemple. Il y a plein de façons de le faire. Mais en tout cas, c’est dans l’optique de donner plus de valeur, d’améliorer le contenu et que le contenu qui date potentiellement d’un an, si tu le mets à jour un an après, il doit être plus pertinent et d’actualité. C’est vraiment ça la finalité.
Floortje (00:17:38.32 –> 00:17:46.22) : Est-ce que pour le coup, les réseaux sociaux peuvent apporter au niveau du SEO, pour le site et l’inverse ?
Quentin (00:17:47.38 –> 00:21:09.25) : Alors, dans les deux sens, c’est une superbe question parce qu’en fait, là, depuis fin 2024, c’est un vrai sujet. Il y a eu pas mal de mises à jour de Google sur la deuxième partie d’année, sur le deuxième semestre. Et en fait, avant, un des points crucials qui venait améliorer le SEO, c’était les backlinks. Et donc, l’autorité provenant d’autres sites web, le fait que des sites web parlent du tien, c’est comme si tu as des anciens clients qui parlent de toi, qui te recommandent. Donc, en fait, c’est une certaine autorité. Donc là, c’était une autorité sur le web. Et en fait, depuis 2024 et deuxième semestre 2024, le trafic devient un facteur super important parce qu’en fait, ça permet à Google de savoir, en analysant les comportements des utilisateurs sur ton site web, si ton site web est pertinent. Et leur apporte une bonne réponse ou pas. Par exemple, il va y avoir des… Donc, le fait qu’il y ait beaucoup de personnes qui visitent ta page, déjà, c’est un facteur qui lui permet de savoir que si ça provient des réseaux sociaux, que tu as une communauté, que, du coup, tu as de l’engagement, etc. Donc, que tu as une certaine entité, d’une certaine façon. Et après, quand les utilisateurs sont sur ta page, le fait qu’ils scrollent, donc qu’ils lisent tout ton contenu, qu’ils cliquent si tu mets des boutons, si tu mets des liens vers d’autres pages, qu’ils restent longtemps sur la page, la durée de session, etc. Tout ça, c’est des facteurs qui prennent de plus en plus d’ampleur et qui permettent, en fait, à Google de vraiment juger si ton contenu est pertinent pour les utilisateurs. Et c’est ce que je disais tout à l’heure. C’est vraiment ça la finalité de Google aujourd’hui. Donc, en fait, si on lui donne ça avec notre site web, il y a forcément vocation à aller mieux se positionner à terme. Donc, les réseaux sociaux ont une très, très grande importance et ça va être de pire en pire, je pense. Oui. Il va vraiment falloir que… Oui. Créer une communauté autour de ton branding, de ta marque, de toi-même, de ton personal branding aussi potentiellement. Ça, c’est un autre sujet, mais il va y en avoir aussi beaucoup qui vont émerger, je pense, à terme. Et le combo, avoir un réseau social qu’on travaille bien et qui envoie vers son site web personnel, c’est une très bonne façon d’avoir donc l’acquisition d’un côté et du coup, d’aller convertir sur ton site en plus de travailler le SEO avec les pages web de ton site. C’est vraiment un très, très bon cumul et ça m’amène à une petite strate aussi que je donne à l’identité des clients. Vas-y, vas-y. Mais typiquement, ce que je leur recommande quand on fait un lancement de site, c’est de choisir un réseau social sur lequel ils sont à l’aise et qu’ils sont prêts à développer, sur lequel ils sont prêts à créer du contenu et en parallèle, travailler le site. Comme ça, le réseau social, il peut y avoir des résultats qui sont assez rapides techniquement et le site, comme c’est forcément plus long, le SEO, la création de contenu, ce genre de choses, en fait, le fait de cumuler les deux, ça assure déjà une certaine stabilité, une croissance sur le court terme, moyen et forcément long terme et c’est un très bon moyen aussi de se créer cette communauté-là et du coup, d’avoir des personnes qui vont régulièrement sur le site et tu commences à créer du contenu, les gens arrivent sur les pages, donc ça améliore ton SEO, donc tu te positionnes mieux en SEO, donc tu récupères plus de clients, donc tu es plus connu aussi via le web, donc tu as plus de personnes qui vont sur tes réseaux sociaux. C’est vraiment un cercle vertueux.
Floortje (00:21:10.29 –> 00:21:19.21) : Donc, en fait, tu vas créer tes propres backlinks. J’ai envie de dire ça. Est-ce que c’est encore la peine d’acheter 1000 backlinks, tu vois ?
Quentin (00:21:19.21 –> 00:22:32.23) : Oui, le cumul des deux est la meilleure façon de le faire. Le cumul des deux est la meilleure façon de le faire. Après, aujourd’hui, il y a moins besoin d’acheter de très grosses quantités de liens. Il vaut mieux en acheter quelques-uns, mais qui sont vraiment pertinents. Typiquement, avant, on achetait beaucoup de liens et pour de la décoration de l’intérieur, on pouvait acheter des liens sur des sites automobiles, sur tout type de site. En fait, aujourd’hui, Google va aussi valoriser la pertinence. Est-ce que c’est pertinent qu’il y ait un lien de ce site vers ce site ? Oui, bien sûr. D’un site automobile vers le tien, je ne suis pas sûr. Par contre, d’un blogueur en architecture ou ce genre de truc vers le tien, c’est peut-être beaucoup plus pertinent déjà. Oui, bien sûr. Tu vois, c’est dans ce sens-là et les deux marchent bien. Les deux combinés, c’est le… C’est la meilleure façon de le faire. Après, c’est toujours pareil. Il y a aussi une question de budget, ce type de sujet. Il y a des liens certains qui sont gratuits. Typiquement, si tu connais des personnes qui ont des sites, qui peuvent faire un échange avec toi, il y a des plateformes qui permettent d’échanger des liens aussi. C’est un moyen de le faire. Et sinon, les réseaux sociaux, techniquement, créer du contenu, c’est gratuit. Donc, dans un premier temps, c’est pour ça que j’aurais tendance à recommander ça.
Floortje (00:22:33.73 –> 00:23:24.18) : En termes de temps, qu’est-ce que tu… Euh… Qu’est-ce que tu estimes qu’il y ait un bon temps à réserver par semaine à s’atteler à tout ça ? Parce que, franchement, j’ai quand même un métier qui n’est pas créer du contenu. Tu vois ? Totalement. Ni mettre mon visage sur Instagram, ni créer des vidéos ultra léchées. Tu vois, tout ça, ce n’est pas mon métier. Sauf qu’aujourd’hui, on ne peut plus s’y passer du tout. Déjà… Est-ce que tu as un espèce de court-circuitage que je peux avoir ? Et combien de temps tu estimes qu’on doit, au minimum, passer, justement, à entretenir son site, son réseau social pour pouvoir, justement, profiter de cette partie-là ?
Quentin (00:23:24.53 –> 00:24:44.79) : Carrément. Alors, ce que j’aurais tendance à dire, ce n’est pas tant une réponse, vraiment, avec une donnée temporelle. Ce serait plutôt de se dire quel temps je suis capable d’allouer pour assurer une régularité, semaine après semaine. En fait, je vais valoriser beaucoup plus le fait de savoir que chaque semaine, à tel jour, je publie un contenu. Plutôt que de se dire, OK, il faut que j’alloue 8 heures et je publie un maximum. Je préfère vraiment faire un seul contenu par semaine, mais un très bon contenu. Et c’est le maximum de temps que je peux y allouer plutôt que de définir une plage horaire et, justement, que ce soit un peu en dents de scie parce qu’une semaine, je peux le faire, l’autre semaine, je ne peux pas, etc. Vraiment. Je vais privilégier la régularité. Donc, techniquement, avoir une quantité de temps que vous êtes sûr de pouvoir allouer semaine après semaine. Ce serait vraiment ça. Typiquement, c’est exactement ce que je fais aussi avec les réseaux. Je sais très bien que je ne peux pas faire plus que deux vidéos par jour. Du coup, je reste à ça et je vais prendre le reste de mon temps pour faire autre chose. Tu fais deux vidéos par jour, toi ? Non, ça dépend. J’ai testé à un moment. Là, pour l’instant, je ne le fais plus trop. Là, en ce moment, je suis à une par jour. Mais, typiquement, je m’y tiens parce que je sais que c’est ce rythme-là que je suis capable d’assurer toutes les semaines.
Quentin (00:24:46.83 –> 00:24:53.33) : C’est une très bonne question. Je crois qu’en 2024, j’ai dû publier 340 sur 365 à peu près.
Floortje (00:24:53.83 –> 00:24:58.43) : Est-ce que tu publies si tu ne tiens pas ta régularité pendant une semaine ?
Quentin (00:24:58.43 –> 00:25:22.37) : Ça ne va pas te desservir si ce n’est pas le cas une fois ou deux fois. Mais, en fait… Il y a vraiment une vocation à si tu es régulier. Par exemple, sur Google, Google va savoir que tel jour, à telle heure, tu publies. Donc, en fait, il va envoyer ses petits robots sur ton site ce jour-là et il va découvrir l’article. Donc, il va l’indexer et il sera en ligne directement.
Quentin (00:25:24.53 –> 00:26:36.45) : Donc, ça ne va pas te desservir. C’est juste que ça peut prendre plus de temps pour que ça marche bien. En tout cas, en SEO, c’est ça. Et sur les réseaux, les algos aiment bien que tu sois régulier dans la création. Et après, pour court-circuiter, j’avais fait une petite vidéo en début d’année où, en fait, le contenu de mon blog, pour reprendre ton terme de tout à l’heure, tous mes contenus un peu plus édito, en fait, j’avais créé une petite automatisation qui allait publier directement sur ma page Facebook, qui allait publier directement sur mon compte Pinterest, etc., en reprenant la photo de mon article, en reprenant le titre de mon article. Et, en fait, ça mettait le lien vers mon article. Du coup, ça m’a assuré une présence sur les réseaux sociaux, en plus que je n’ai pas besoin de le faire. En fait, j’avais pris, je ne sais pas, deux ou trois heures à créer l’automatisation. Et, en fait, après, pour toute l’année, ça marchait sans problème. Donc, ça, c’était un bon moyen. Après, toujours pareil, est-ce que c’est à prioriser ou pas ? Ce ne sont pas les contenus qui sont les plus personnels et les plus qualitatifs, mais ça permet d’avoir une présence. Donc, à voir quels sont les objectifs aussi. C’est ça qui est le plus intéressant. C’est ça qui est le plus important.
Floortje (00:26:37.35 –> 00:26:52.16) : Ça, je comprends. Alors, donc, maintenant, on a notre site. On a les mots-clés. On a écrit des trucs, des machins. Voilà, ça commence à doucement marcher. Qu’est-ce que, toi, tu vois est la plus grosse erreur qu’on fait par la suite ?
Floortje (00:26:55.11 –> 00:26:58.23) : À part ne pas être régulier, parce que celui-là, je l’ai bien noté.
Quentin (00:26:58.35 –> 00:27:34.57) : Oui, carrément. En fait, ce n’est pas tant une question SEO, mais là, c’est plus une question vraiment business. Enfin, c’est vraiment une erreur business que je vois régulièrement et qui est encore tombée là récemment. Le fait de ne pas avoir de metrics, de ne pas suivre, de ne pas avoir d’analytics. Et ça, en fait, la plupart des gens ne s’en rendent pas compte, mais c’est un très gros frein quand tu as une activité, un business. Pourquoi ? Parce qu’en fait, un, tu ne vas pas être en mesure de savoir facilement quelles sont les raisons. Déjà, est-ce que ça marche ? Est-ce que ça ne marche pas ? Oui, bien sûr. Si on n’est pas en capacité de le savoir, c’est compliqué.
Quentin (00:27:36.91 –> 00:29:34.31) : Ensuite, potentiellement, le fait d’avoir de l’analytique, c’est au moins un minimum de données. Ça permet de savoir s’il y a des virages qui sont possibles au fur et à mesure. Potentiellement, une page marche bien. Est-ce que ce n’est pas intéressant de faire telle autre page ? Il y a des outils comme la Google Search Console qui permet de connaître ton SEO. C’est un outil gratuit de Google. Mais s’il est branché… En fait, tu vas avoir des informations sur les mots-clés que les utilisateurs de ton site ont tapés et qui ont permis d’arriver sur ton site. Parfois, tu as des mots-clés qui ne sont pas présents dans tes contenus. Juste le fait de l’ajouter dans ton contenu, tu peux exploser ton trafic. J’ai vu des clients faire du x4, x5 en reprenant des mots-clés qui n’étaient pas dans leur contenu, sur lesquels eux apparaissaient parce que Google se disait que ce contenu est pertinent. Ils l’ont ajouté dans le contenu. Explosion de trafic sur leur page. Ce sont des petits trucs qui permettent d’analyser, de savoir s’il y a des virages à prendre ou pas, et d’optimiser l’ensemble. Dans votre cas, j’imagine que vous devez prendre des rendez-vous sur le site. L’objectif doit être de la prise de rendez-vous ou de faire du devis. Est-ce que tu sais combien de personnes arrivent sur ta page et combien de personnes cliquent ? Est-ce que tu sais d’où ils proviennent ? Toutes ces informations-là. Oui. Le fait d’avoir de l’analytique, c’est super intéressant parce que tu peux être en mesure, si tu sais d’où ça vient, d’aller appuyer et d’aller mettre de l’intensité sur ce vecteur-là. C’est vraiment un point que j’aimerais pousser. J’ai des clients sur la partie plus publicitaire qui ont des campagnes où ils mettent des budgets 20 euros, 50 euros, 100 euros par jour. Ils ne savent pas combien ils génèrent derrière. C’est-à-dire qu’ils envoient de l’argent, mais ils ne savent pas exactement combien la publicité leur rapporte.
Floortje (00:29:34.67 –> 00:30:01.13) : Oui, c’est quand même important à suivre. Exactement. Parce que moi, j’ai regardé forcément Google Search Console, j’ai pleuré et puis j’ai arrêté. Du coup, j’essaye, mais je ne sais pas quel truc je dois… Est-ce que tu peux me donner les deux données ? Je dois absolument suivre. Si je vais sur Google… Parce qu’aller sur Google Search Console, ce n’est pas compliqué. Ce n’est pas très compliqué de mettre son site sur… Jusque-là, tout allait bien.
Quentin (00:30:03.01 –> 00:31:40.51) : Mais ensuite… Oui, carrément. Si tu veux deux données, ce que j’aurais tendance à te dire, c’est d’aller voir dans les pages indexées. Et en fait, c’est savoir si les pages sont présentes sur Google ou pas. Déjà, le fait de savoir ça, ça te permet de savoir si ton contenu est de qualité ou non. Si tu as très peu de pages indexées, ça veut dire que Google ne valorise pas le contenu que tu crées. Donc en fait, il faut que tu reprennes tes pages et il faut que tu viennes améliorer, répondre encore mieux à ce qu’attend un utilisateur quand il a cette question-là, quand il se pose cette question, et que toi, tu lui donnes vraiment la valeur qu’il attend. Donc ça, c’est vraiment la première partie. Et la deuxième partie, en fait, aller dans l’onglet Performance et regarder les meilleures pages qui te génèrent le plus de clics. Mais qui sont positionnées au-delà de la position 8. Pourquoi ? Parce qu’en fait, ça va être des pages sur lesquelles, justement, ce que je disais juste avant, tu vas avoir plein de mots-clés potentiels et tu vas pouvoir te dire, ok, est-ce que ce mot-clé-là est dans le contenu ? Oui, non. S’il y est, pas besoin de le rajouter. Par contre, s’il n’y est pas, je le rajoute. Et en fait, le fait de le rajouter, tu vas forcément reprendre une position super rapide sur ce mot-clé-là parce que Google valorise déjà ton contenu. Et le fait de le rajouter, Google va se dire, ok, elle parle vraiment de ça. Hop, je gagne 3 ou 4 positions. Et en fait, quand tu passes de position 8 à position 3 ou 4, ton trafic, il fait un bond, forcément. Donc, c’est vraiment ça. Mais j’avais fait une vidéo, il faudrait que je te la retrouve aussi. Comme ça, on pourrait la partager, ce serait intéressant.
Floortje (00:31:41.17 –> 00:31:54.39) : Oui, mais de toute façon, ton page Instagram, effectivement, je ne le mets pas forcément en place, mais il est extrêmement… À chaque fois, je te vois passer et tu dis, ça, il faut juste le faire pour que… Et je fais, ah ouais, il faut le faire. Et puis ensuite, je fais autre chose. Et puis voilà. Je suis un super mauvais élève là-dessus.
Quentin (00:31:54.47 –> 00:31:56.89) : C’est toujours ça. C’est toujours ça. C’est difficile d’appliquer.
Floortje (00:31:57.23 –> 00:33:13.31) : Mais c’est compliqué parce qu’effectivement, ça n’est pas mon métier. Et ça m’intéresse guère. Donc, du coup, est-ce que tu peux me donner, juste, deux, trois trucs que je peux mettre en place facilement une fois que nous, on a terminé d’enregistrer ce podcast ? Juste le truc où tu dis, ok, Florent, mais tu vas faire ça, et puis tu fais ça, et puis tu fais ça. Et comme ça, tout le monde peut le faire. Est-ce que tu as des… Parce que je sais que tu fais souvent des petites listes comme ça. Salut, il est bon de faire ça. Est-ce que tu as des trucs où tu fais, où tu dis, ok, une fois que tu as fait, justement, ta recherche, il y a forcément des trucs à faire. Par exemple, histoire d’avoir tes mots-clés, histoire d’avoir ton site, histoire d’avoir effectivement ton réseau social déjà en place. Je trouve ça super intéressant que tu dis qu’il est intéressant d’abord commencer par un seul réseau social. Et je trouve, j’aimerais bien faire le point là-dessus parce qu’il est très facile de se perdre. Dans les réseaux sociaux, surtout aujourd’hui, quand on est dans mon métier où on ne sait plus est-ce que vraiment il faut qu’on soit sur Instagram ou c’est juste plus possible de sortir du lot quand on est dans la décorologie, ou est-ce qu’il faut absolument qu’on soit sur LinkedIn parce que c’est le truc à faire actuellement. C’est super intéressant de dire un seul.
Quentin (00:33:13.71 –> 00:33:24.31) : Tu vois, j’ai un vrai sujet sur ça, pour le coup. Sur les réseaux sociaux, c’est qu’aujourd’hui, tous mes concurrents qui font du SEO et qui ont des agences, sont sur LinkedIn.
Floortje (00:33:25.17 –> 00:33:27.21) : La sphère entière est sur LinkedIn actuellement.
Quentin (00:33:27.23 –> 00:35:57.84) : Oui, mais c’est le seul réseau social où moi j’y suis, mais je n’ai jamais travaillé pour booster ce réseau social. En fait, je suis parti d’un constat, ça s’est fait pour être 100% transparent, ça s’est fait sans que j’aie prévu le coup. Mais en y ayant réfléchi plus tard, en fait, tu pars simplement du principe de OK, mes clients, si je les connais bien, je sais ce qu’ils font à peu près de leur journée, je sais sur quels réseaux sociaux ils passent leur temps, est-ce que leur tranche d’âge va plutôt sur Facebook, va plutôt sur Twitter, sur LinkedIn, sur Pinterest, sur Instagram, sur TikTok. Et en fait, à partir de là, où sont tes concurrents Quel type de contenu tu peux adresser, etc. Et en fait, j’étais le seul, et aujourd’hui, mes concurrents commencent à le faire, mais j’étais le seul à faire de la vidéo sur du SEO sur TikTok. J’ai commencé sur TikTok, j’étais le seul. Donc en fait, j’étais forcément connu directement, Oui. mais j’avais énormément de messages de personnes qui voulaient qu’on travaille ensemble, parce qu’en fait, c’était des personnes comme toi, comme moi, comme n’importe qui, qui tombaient sur TikTok et qui tombaient sur une vidéo un peu business, un peu SEO, qu’ils avaient un type de contenu, un format de contenu qu’ils n’avaient pas l’habitude de voir. Et en fait, ça m’a fait énormément de contacts comme ça. Et aujourd’hui, c’est une donnée que j’ai partagée récemment, donc je peux vous la partager aussi, mais je génère à peu près 70-80 leads SEO par mois, et c’est énorme. C’est énorme. C’est énorme. Tous mes concurrents sont moindres par rapport à ça. Et en fait, LinkedIn s’est bouché, parce que tout le monde est dessus. On peut le faire, on peut se démarquer un petit peu. J’ai échangé récemment avec une personne qui vient de se lancer justement en SEO, en consulting sur LinkedIn, et il marche très bien, parce qu’il a un format justement qui change un petit peu, mais c’est difficile. Alors qu’en fait, moi, je suis dans un océan bleu où il y a très peu d’autres personnes qui sont là aujourd’hui sur un format qui marche bien, que je peux exploiter sur tous les réseaux sociaux maintenant. Et c’est pour ça que mon approche du réseau social, ce n’est pas qu’est-ce qui marche bien, c’est où sont les personnes que je veux toucher ? Est-ce que je peux leur créer du contenu qui va les impacter, qui va les aider sur ces plateformes-là ? Est-ce que j’y trouve aussi un intérêt ? Moi, j’aime bien la création de contenu vidéo, donc ça matchait parfaitement. Mais il y a des personnes qui préfèrent l’écrit. Peut-être qu’un thread, un Twitter, c’est plus intéressant. Je ne sais pas. Mais en tout cas, c’est vraiment dans cet axe-là, c’est l’axe de pensée que j’ai sur comment adresser un réseau social pour ses clients, voilà.
Floortje (00:35:58.44 –> 00:36:03.08) : Et puis vraiment, effectivement, au départ, se focaliser sur un seul justement pour le faire bien.
Quentin (00:36:03.82 –> 00:37:14.68) : Totalement, totalement. Pour reprendre mon exemple encore une fois, j’ai commencé sur TikTok et en fait, mon objectif, c’était, et ça, c’est le côté un peu SEO, comprendre les algorithmes, mais je voulais comprendre l’algorithme de TikTok, savoir comment il marche, comment créer du bon contenu, avec le hook qui fonctionne bien, réussir à augmenter le watch time, le fait que les personnes regardent la vidéo une fois, deux fois, et donc que ça booste mes vidéos, les vues. Et en fait, une fois que j’ai compris ça, j’ai changé et je suis parti sur Instagram. Et Instagram, ça m’a ouvert d’autres possibilités parce que j’ai des possibilités d’automatisation, d’aller beaucoup plus loin. Les stories sur Instagram, ça marche bien. C’est nettement mieux pour mon cœur business. Et aujourd’hui, en fait, mon focus est sur Instagram et je crée du contenu pour Instagram, mais il est diffusé partout autour. Et c’est vraiment… En fait, c’est toujours vraiment un réseau social. Parce qu’à vouloir tous les faire… C’est impossible. Surtout si on est tout seul, c’est compliqué. Et en fait, c’est toujours pareil. Si on n’est pas focus, on ne sera jamais bon quelque part. Mieux vaut être focus sur un ou deux. Et en fait, vraiment y aller à fond. Et il y aura forcément des résultats. Si tu fais un an, six mois sur un truc très, très précis, il y a forcément des résultats.
Floortje (00:37:14.98 –> 00:37:26.60) : Oui, bien sûr. Avant de venir à tes trois trucs à faire, parce que là, pour le coup, il y a toute une autre question qui me vient en tête. Est-ce qu’il y a… Il fut un temps que je créais du contenu pour Instagram
Floortje (00:37:28.64 –> 00:38:07.62) : et puis je demandais à ChatGPT de me le traduire en LinkedIn et Facebook. Donc comme ça, j’avais les postes un peu différents. Et puis forcément, j’ai entendu parler du fait que Google, SEO, etc., ça n’aime pas les postes générés par ChatGPT. Moi, j’avoue tout de suite, en n’étant pas française, je suis une grande fan de ChatGPT et ensuite de Scribent pour enlever encore plus d’erreurs dans mon français, approximatif de temps en temps en termes d’écrit. Est-ce qu’il est vrai qu’en SEO, on est puni si on utilise trop ChatGPT ?
Quentin (00:38:07.62 –> 00:40:00.10) : En fait, on est puni et je pense qu’on est puni sur tous les algorithmes, sur tous les moteurs de recherche, sur tous les réseaux sociaux si on fait trop d’IA qui sent l’IA. En fait, ChatGPT, si on l’utilise très très bien et de façon très poussée, on peut faire du ChatGPT pour écrire des articles SEO. Ça marche très bien. En fait, ce qu’il ne faut pas faire, c’est utiliser ChatGPT de façon commune. Typiquement, lui demander, OK, rédige-moi un article sur la décoration d’intérieur. Si je lui demande ça, oui, c’est ça. En fait, tout tes concurrents vont faire la même chose et vous aurez le même contenu et forcément, ça ne marche pas. Alors que par contre, si toi, tu es expert de ton sujet, tu es passionné de ton sujet, tu connais ton sujet, en fait, tu as déjà la possibilité de faire le pré-travail SEO, de savoir, OK, dans ma page, pour répondre à cette question qu’a un potentiel client, je sais qu’il faut ça, ça, ça, ça, ça, tous ces éléments-là. Et en fait, ChatGPT, je vais venir simplement lui demander de rédiger le point 1, le point 2, le point 3. Et en fait, j’en fais plein à la suite. Et en faisant ça, tu auras des réponses qui sont nettement plus précises parce que tu auras aiguillé ChatGPT. Ce sera beaucoup plus pertinent. Et en fait, ton article au global, quand tu combineras tous les points, tous les éléments, en fait, ce sera un article qui sera 100% unique et qui sera très, très pertinent par rapport à la question que la personne se pose à la base. C’est vraiment ça, le système qu’il faut réussir à mettre en place. Et en fait, plus tu arriveras à découper de façon précise et petite ton article et tes demandes à ChatGPT, plus lui sera précis et meilleur sera ton contenu. Oui, bien sûr. Oui, ça, je comprends. Donc ça, on va utiliser ChatGPT en faisant ça, ça marche. En lui demandant juste de faire un article sur un sujet, ça ne marchera pas.
Floortje (00:40:00.26 –> 00:40:03.14) : Ça ne marchera pas. OK. Allez, pour les trois choses à mettre en place.
Quentin (00:40:03.84 –> 00:40:16.86) : Yes, les trois choses à mettre en place, c’est une très bonne question. Et je dirais, je dirais, je dirais, je dirais… Tu me poses un petit peu une colle parce que c’est… En fait, on a vu beaucoup de choses.
Floortje (00:40:17.36 –> 00:40:19.58) : C’est vrai qu’on a parlé de plein de choses déjà.
Quentin (00:40:19.64 –> 00:40:39.84) : J’aurais tendance à reprendre un petit peu ce qu’on s’est dit, notamment reprendre un, tes objectifs. Je pense que c’est vraiment le point principal. Se faire un petit audit, une petite prise de recul sur OK, c’est quoi mes objectifs ? Quelles sont mes pages et ou mes mots clés qui sont intéressants pour le business ?
Floortje (00:40:39.84 –> 00:40:58.28) : Oui, qu’est-ce que je veux ? Exactement. Juste, je te coupe deux secondes. Quand on fait des objectifs, justement, pour tout ce qui est SEO et réseaux sociaux, ça ne veut pas… L’objectif de quelqu’un qui a une entreprise dans la décoration ou architecte intérieur n’est pas forcément d’avoir 70 000 followers. Ah oui. L’objectif est forcément d’avoir plus de clients.
Quentin (00:40:58.84 –> 00:41:12.64) : Totalement. Justement, c’est… Le premier point, c’est d’éviter les vanity metrics, donc tous les followers, etc. Et de se concentrer vraiment sur les KPIs. Super important pour le business.
Floortje (00:41:13.24 –> 00:41:14.78) : Vanity metrics, c’est bon, ça.
Quentin (00:41:14.94 –> 00:42:50.46) : Oui, mais c’est un terme… Ah oui, je le comprends. …que j’ai repris à je ne sais plus qui, mais c’est exactement ça. Et on retombe tous dedans à un moment… Typiquement, j’étais le premier cette année à suivre un peu toutes mes évolutions sur les réseaux. Mais en fait, en refaisant mes résultats et mes objectifs fin 2024, je me suis dit que ce n’était pas du tout ça. Mieux vaut avoir deux ou trois objectifs très précis. Oui. Et qui n’ont pas vocation à booster un petit peu l’ego ou ce genre de choses, mais plutôt à avoir vraiment un impact sur là où tu veux aller, ce qui est important pour le corps business. Aujourd’hui, typiquement pour moi, ça va être le nombre de leads. Et ce n’est pas le nombre d’abonnés sur TikTok. Ça n’a aucun impact. Par contre, mon nombre d’abonnés sur Instagram reste pertinent parce que c’est mon réseau social sur lequel je crée vraiment du contenu et sur lequel je vais aller chercher le plus de clients. Donc en fait, les deux sont très, très corrélés. Mais voilà, il faut vraiment faire attention à ça. Pas avoir trop d’objectifs aussi pour ne pas se perdre. En avoir le mieux, je pense que c’est trois. Trois différents. Et faire en sorte de les avoir sur les différentes étapes du funnel de conversion. Donc potentiellement acquisition, conversion et revenu ou fidélisation. Ça dépend des business, ça dépend de plein de choses. Mais combien de personnes arrivent jusqu’à ma prise de rendez-vous, ma prise de devis ? Combien de personnes j’arrive à convertir ? Ou alors combien est-ce qu’elles me génèrent ? Et après, combien reprennent un accompagnement ou reprennent une prestation avec moi ? C’est à peu près… Enfin, c’est souvent les KPIs qui reviennent en tout cas.
Floortje (00:42:51.36 –> 00:42:51.72) : Super.
Quentin (00:42:52.32 –> 00:43:48.50) : Voilà. Donc ça, ce serait le premier point de vraiment définir les KPIs. Et en fait, ensuite, les appliquer. Typiquement, tes pages web, tes mots-clés. En fait, quels sont les mots-clés qui vont permettre de servir tel ou tel ou tel KPI ? Et c’est… Quel mot-clé va me permettre d’acquérir des personnes qui sont qualifiées ? Quel mot-clé et quelle page web, quel contenu, même si on reprend les réseaux sociaux, va me permettre d’aller jusqu’à la conversion ? Et quel contenu va fidéliser mes clients, va me créer une communauté ? Et en fait, si tu as vraiment cette vision-là très stratégique basée sur des objectifs précis, bah, techniquement, en fait, tout devient beaucoup plus simple. Et tu vas avoir une vision de ton business qui est avec un certain recul. Et tu vas savoir exactement ce que tu dois faire, en fait. Ce que tu dois prioriser, surtout. Et là où tu te disperses énormément. Parce que, oui, créer des beaux visuels, etc., c’est cool. Mais en fait, si ça n’a aucun impact derrière…
Floortje (00:43:48.50 –> 00:43:52.18) : Parce qu’on peut tellement facilement se disperser. Totalement.
Quentin (00:43:52.62 –> 00:44:06.98) : Je suis le premier à l’avoir fait. Bien sûr. J’essaye de le faire moins. OK. Mais c’est totalement ça. Et après, si je dois avoir un troisième point… Un troisième, troisième point…
Floortje (00:44:07.74 –> 00:44:14.10) : Après, c’est suivre, appliquer les KPI. Et puis ensuite, surtout, aller chercher tes résultats.
Quentin (00:44:15.19 –> 00:44:18.81) : Carrément. Du coup, il y a ce côté analyse et optimisation, après.
Floortje (00:44:19.25 –> 00:44:22.89) : C’est vrai. Ça doit être une espèce de cercle, en fait.
Quentin (00:44:23.09 –> 00:45:18.31) : Mais c’est exactement ça. C’est un cercle vertueux. Et tout, en fait, tout va venir servir aussi les autres points. Et si tu arrives à avoir cette boucle-là, c’est parfait. Par exemple… Dans mon cas, j’ai mis en place la fin d’année… J’ai des vidéos YouTube qui sont des vidéos longues sur lesquelles je vais aller parler des concepts, expliquer les outils, ce genre de choses. En fait, mes vidéos courtes sur les réseaux sont des vidéos qui vont venir capter l’attention. Et à la fin, je leur propose, s’ils veulent approfondir le sujet, de commenter tel ou tel mot sur ma vidéo. Et après, j’ai mon automatisation qui va leur envoyer mon contenu YouTube. Et mon contenu YouTube va venir réassurer. Et en fait, après, ils vont venir convertir sur mon… sur ma demande d’audit ou sur mon coaching ou sur ce genre de choses. En fait, tous les contenus que je crée sont inclus dans une boucle. Et en fait, ça fait que tourner. C’est toujours vertueux. Voilà. Mais il faut réussir à créer ce système, entre guillemets.
Floortje (00:45:18.75 –> 00:45:29.03) : Oui, bien sûr. C’est ça qui est difficile. En fait, peut-être le troisième point, c’est s’abonner à ton page Instagram et essayer de mettre en place des choses. Exactement. Et faire ça mieux que moi parce que moi, je regarde juste.
Quentin (00:45:29.53 –> 00:45:41.65) : Exactement. Voilà. Très bon troisième point. Troisième point, c’est mettre en place des actions. Non, mais tout simplement mettre en place des actions. En fait, il y a beaucoup de personnes qui vont… Actions tenables. Exactement.
Quentin (00:45:44.11 –> 00:45:58.08) : Pareil, quand tu lis des livres ou ce genre de choses, tu emmagasines les informations, mais en fait, tu vas très rarement les appliquer. Et le fait de prendre des actions, de les appliquer, de les mettre en pratique, il n’y a que ça qui marche, en fait. Oui.
Floortje (00:45:58.08 –> 00:46:03.64) : Et ne pas en faire trop parce que sinon, c’est comme tout ce que tu arrêtes au 1er janvier.
Quentin (00:46:04.74 –> 00:46:15.04) : Exactement. C’est pour ça que personnellement, j’ai arrêté les bonnes résolutions. Maintenant, je me mets un mot pour l’année qui sera un peu mon mot mantra, mon mot guide. Et franchement, ça marche bien.
Floortje (00:46:15.44 –> 00:46:16.92) : C’est quoi ton mot ?
Quentin (00:46:16.92 –> 00:46:33.36) : En 2024, c’était focus. Oui. Et j’ai réussi à me focus. Fin d’année, le résultat était plutôt très mal. Super. Et là, cette année, ça va être intensité, mettre plus d’intensité dans l’ensemble. Tu vois, typiquement, peut-être passer à deux postes par jour. Ça peut faire partie de ce genre de sujet. Mais voilà, ça va être ça.
Floortje (00:46:34.88 –> 00:46:38.08) : Écoute, Quentin, un grand merci. C’était super. J’ai appris encore plein de choses.
Quentin (00:46:38.30 –> 00:46:39.88) : Trop bien. C’était l’objectif.
Floortje (00:46:40.10 –> 00:46:41.68) : Mon mot de l’année, ce sera action.
Quentin (00:46:42.40 –> 00:46:43.88) : OK. J’adore.
Floortje (00:46:43.88 –> 00:46:47.76) : On fera un petit point à la fin de l’année pour voir si j’ai pu quand même mettre en place deux, trois trucs.
Quentin (00:46:48.02 –> 00:46:49.76) : Avec plaisir. Avec plaisir, on fera ça.
Floortje (00:46:50.04 –> 00:46:53.16) : Un grand merci pour ton temps. Et puis, je te dis à très, très bientôt.
Quentin (00:46:53.40 –> 00:46:56.08) : À très, très vite. Merci beaucoup. Salut.
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